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À MA PLACE


SORTI LE 9 SEPTEMBRE 2020


AVEC UNE TRES BONNE PRESSE

 
 
 
 
Savannah cherche sa place. Elle est une fille de la classe ouvrière qui veut réinventer la politique. De Nuit Debout à l’Ecole Normale Supérieure, Savannah doute, rêve, lutte et apprend. Elle se cherche un avenir.
 
 
 
Dossier de presse
 
 
 
 
BANDE ANNONCE
 
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« Le film est une remémoration en clair-obscur d’un moment de lutte verticale, dont Dressen déploie la conscience successivement combative et dégrisée. A la fin, celle-ci s’est comme dissoute dans l’air, un an après ses premières vibrations. A la place, et d’ici à la suivante, il restera ce film. »
 
 
 
 
« Dans A ma place, de Jeanne Dressen, Savannah Anselme, 25 ans, est une autre incarnation de cette République qui tente de recoller les morceaux du tripty­que «Liberté, Egalité, Fraternité ». (…) Savannah Anselme a la grâce d’une Marianne et son intelli­gence lui permet de répondre avec calme à ceux qui ne partagent pas ses combats. »
 
 
 
 
« Parvenir à interroger cet engagement militant est une des plus belles réussites de ce documentaires quasi immersif en forme de film d’apprentissage. (…) la permanence de ces problématiques confère à ces images d’un passé immédiat une puissance évocatrice et des résonnances d’une étourdissante contemporanéité. »
 
 
 
 
« ce documentaire autoproduit soulève des questions cruciales : pourquoi lutter et de quelle façon ? Il réussit le portrait émouvant d’une fille d’ouvrier, aussi désireuse de participer à la marche du monde que tourmentée à l’idée de trahir son milieu. »
 
 
 
 
« Sans que ce soit jamais explicite – et heureusement, sinon le film tournerait à la leçon de choses – la donnée sociologique devient capitale. « L’ENS, pour moi, c’est l’école de Bourdieu », avait dit Savannah plus tôt. Elle ignorait alors qu’elle illustrerait malgré elle ses théories sur la domination et les transclasses. À ma place n’en devient alors que plus passionnant, et Savannah est d’autant plus émouvante. »
 
 
 
 
« Son portrait est à la hauteur de son engagement, fascinant et revigorant. Et à l'aune des « gilets jaunes » et du débat sur les violences policières, ce documentaire est tout simplement indispensable ! »
 
 
 
 
« (…) L’intérêt principal du film demeure le fait que la réalisatrice, Jeanne Dressen, fixe son regard sur une obstinée, d’une magnifique sensibilité, pour parler du combat plus général que la jeunesse mène contre l’ordre établi, la disparité des richesses entre les classes sociales et le sentiment de ne pas être entendue. C’est surtout un film qui donne de l’espoir à une jeunesse désabusée et rappelle que la société évolue parce que des jeunes s’insurgent contre l’ordre politique. Mais la réalisatrice laisse le droit à l’émotion, à la contestation, à la critique de son point de vue politique. »
 
 
 
 
« À ma place donne une lecture tout en nuances de ces tourments intérieurs, laissant à Savannah seule le soin de poser les questions et d’apporter les réponses. (…) le documentaire de Jeanne Dressen pose moult questions essentielles qui dépassent le cadre de Nuit debout pour porter le fer au cœur des mécanismes de la reproduction sociale. »
 
 
 
 
« (une) volonté de filmer de près le mouvement Nuit Debout contre la Loi Travail qui a tenu en haleine l’opinion publique en 2016. Entre slogans criés à tue-tête et action policière, elle fait voir l’envers du décor et la réalité du combat quotidien. (…) Les pensées de la jeune militante emplissent le film avec des réflexions tour à tour désabusées et revendicatrices. (…) Le documentaire se vit comme une plongée dans une jeunesse revendicatrice qui peine à se faire entendre face au tumulte d’une répression qui ne dit pas son nom. A méditer. »
 
 
 
 
« Le documentaire est comme une fable aussi poétique que dure, parce qu'autour des espaces de rêves que constituent Nuit Debout, il y a des espaces réels qui sont impactés par l'imaginaire. Il y a à la fois la recherche d'appartenance à un espace, et l'appropriation de l'espace. Une façon de connecter l'intimité et les ambitions, de faire circuler la parole et les idées. »
 
 
 
 
« C’est donc en évitant de s’attacher aux causes de la révolte de Savannah que le film offre ce qu’il a de meilleur : un portrait de femme qui se cherche. C’est dans l’intimité que l’on y voit les plus beaux moments de cinéma. Quand Savannah (…) rend visite à son père ouvrier au chômage, on ne peut que mesurer les tensions qui mettent en branle des convictions, une lutte, mais aussi les troubles qui donnent son titre au film. Savannah ne sait où trouver sa place. »
 
 
 
 
« Sans misérabilisme mais sans emphase aucune, À ma place dit avec une sagacité bouleversante quelle distance une transfuge de classe peut parcourir sans perdre de sa combativité, et quel millimètre peut se révéler insoutenable après des pas de géant. »
 
 
 
 
« Ce documentaire invite à se poser des questions toujours d’actualité avec la crise sanitaire actuelle (violences policières, déconnexion des dirigeants, atteintes aux idéaux de démocratie), car toutes liées à la volonté de faire «redescendre » la politique vers le bas. (…) Étudier pour entrer dans l’école de ses rêves, l’École Normale Supérieure de Paris ? Militer au sein de Nuit Debout, pour défendre ses convictions ? Agir individuellement ou lutter collectivement. Faut-il seulement choisir ? C’est tout l’objet du film. »
 
 
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